RETOUR SUR LE "CHINA TOUR" !

Bien rentrés !

96 heures. 20 000 km.

Paris – Francfort – Hong Kong – Zhuhaï, puis retour.

Deux concerts, deux showcases.

Comment vous raconter tout ça ?

Au départ, il y avait Michaëla, David, et Cyrille, le percussionniste, chapeautés par Anne et François, à la production française de cette expédition. Cinq paires de bras, deux guitares, un sampler, un didgéridoo, cinq brosses à dents, et pas loin de 150 kg de bagages, essentiellement remplis… de matos.

24 heures plus tard, une nuit blanche, et 10 000 km plus loin, il y a eu Du Kai, le producteur chinois du festival, à l’origine de cette aventure. Au dos de son t-shirt, le slogan de l’événement « Sex, Love & rock n’roll ». Tout est dit ! Puis Patrick, le précieux interprète qui nous a tirés d’un bon nombre de petites galères, Lancelot, le « GI Joe » des consoles de retour, Frances, Mitchell, et toute l’équipe dynamique du Doumen Music Festival, un groupe suédois, un groupe chinois, le Ukulélé Club de Hong Kong, Daryl aussi, et sa clique efficace, à l’Orange Club, un maître de Taiji Quan, un chef cuisinier japonais (si, si !) du tonnerre, deux showcases, deux concerts, la presse, les officiels, du gros son, des écrans géants, de la sueur, de la chaleur, des fous rires, des coups de stress, un sac de 25 kg oublié à l’arrière d’un taxi chinois, retrouvé à l’arrière du même taxi, une heure plus tard, à 5 petites minutes de la fermeture de l’embarquement pour le dernier ferry quittant Zhuhaï, la nature, luxuriante, les néons, aveuglants, des banques, des bas-fonds, tant de contrastes… de petits avions, de gros avions, des escalators, des ferrys, des stewards, des hôtesses, des trains, des bus, des taxis, des flics, et enfin, mais surtout… des Chinois par milliers, de tous âges, beaux, classiques, modernes, surpris, chaleureux, chantant, même ! Et dont les yeux brillent quand vous leur dites « Faguo » (français). Autant de sourires sur place, à emporter… Des dizaines de selfies, des centaines de « Ni hao » (bonjour), de « XiéXié » (merci).

Enfin, en bande-son de ce périple un peu fou, « Maotoyeung », une nouvelle, jolie petite chanson, en Chinois dans le texte (oui, oui !), et que vous entendrez peut-être tôt ou tard, si vous insistez… 😉

Bref, des émotions, fortes, des souvenirs marquants, et une grosse dose d’énergie qu’on va s’empresser de retraduire en musique. Parce que c’est pas le tout, mais… on a un album à finir de vous écrire.

Encore MERCI à tous ceux qui ont fait cette histoire.

Vivement le prochain chapitre !

M & D.